21 mai 2012
Nous flanons le long de la côte découpée du Maine, de presqu'île en île, de crique abritée en cap rocheux ...
De temps en temps, une trouée dans la forêt laisse la place à un lac où s'ébatent des castors,
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puis, à la sortie d'un virage, c'est la vue sur une crique abritant les bateaux des pêcheurs de homard ...
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Pourtant ce havre de paix que nous traversons doit être un enfer en été quand les hordes de touristes viennent y chercher la fraîcheur ...
Et que dire de l'hiver ?? Au dire même des habitants avec qui nous avons discuté, c'est le désert ...
Nous comprenons mieux que Stephen King situe l'action de la plupart de ses romans dans cette région à l'habitat dispersé, lorsque les brumes hivernales la recouvrent ...